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Plate-forme d'atterrissage sur les hauteurs… Je regarde ça tous les jours mais je n'ai encore rien vu se poser !
Nouvelles technologies… Un jeu de 7 à 77 !
Big concert du DJ de la "dance/trance" Tiësto… C'est fini le "merengue" et la "salsa" !
… la "trance" continue ! Te dis pas le show… bon, le sponsor c'était le big producteur de la bière nationale ! Tu vois comment ?!
Je rencontre cette femme et ses enfants issus de la nouvelle génération friquée dominicaine… Ils passent leur temps à me dire et à me montrer tout ce qu'ils ont…
En attendant le train on ne perd pas de temps…
Vite mon portable, et tant pis s'il est en équilibre instable!
Quand le verre cathédrale tente de faire mieux que les pixels.
Dans quel sens cette "roue" (oeuvre du sculpteur Cante-Pacos) va-t-elle tourner?
La guitare donne des frissons à la peau de l'instant.
Pour ses 50 ans, Françoise nous reçoit avec panache sous chapiteau
Pour ses 84 ans ma mère exhibe sa collection de pelles à neige.
Le monde est vaste dit le bourdon à la bourdonne. Allons boire un verre au nectar doré, après dare-dare, on ira amener Prospère au cirque et je te présenterai à ma mère.
Max et Sébastien déchaînent leurs rafales numériques pour capter l'âme, peut-être, d'un innocent tombé dans la fosse aux lions.
Ce qu'il y a de plus violent chez les Anglais c'est sûrement les gâteaux…
L'avion pousse à l'inspiration, on y trouve pleins de choses horribles…
Les devoirs poussent à l'inspiration. Poussent à s'envoler.
"Thunder only happens when it's raining/Lovers only love you when they're…" Fleetwood Mac
-If you take a picture, you buy us beer!
-Well, a beer for a pic! What if I offered Champagne?
-Say that again!
Click.
Words! I struggled long to find a title for this one. From the 37th cloud? First look out the window? Roulements de tonnerre? Libidinous thoughts (happens everytime I look that way!!)? "Car le mot, said Victor, qu'on le sache, est un etre vivant./[…] Tel mot est un sourire, et tel autre un regard/[…] Le mot tient sous ses pieds le globe et l'asservit/[…] Car le mot, c'est le Verbe, et le Verbe, c'est Dieu." A word for everything then!
"…et dans la molle blancheur de la nuit, elle sentait courir des frissons surhumains, palpiter des espoirs insaisissables,quelque chose comme un souffle de bonheur." Guy de Maupassant, Une vie
"Les rapports charnels ou spirituels que les hommes entretiennent avec la nuit sont aussi troubles et complexes que ceux qu'ils cultivent envers le destin, l'amour, la mort, la haine et les autres lieux communs secrets de la vie, dont elle est d'ailleurs le symbole par excellence." L. Bureau, Terra erotica
Carré suisse à la une des journaux allemands ? Это не пахнет хороший: ça ne sent pas bon, ce qui est un comble pour un argent sensé ne pas avoir d'odeur.
Après la télévision-miroir voici le miroir-télévision: nous allons enfin savoir qui est la plus belle.
Après le recyclage de l'argent, celui des banques qui vendent des "performance boosters" à une clientèle exigente.
Les élections présidentielles et les législatives sont prévues en Tunisie en octobre prochain. Agé de 72 ans, Zine El Abidine Ben Ali est candidat à un 5ème mandat. "Elles seront transparentes!" a-t-il promis. Le Président s'est engagé pour la présence d'observateurs indépendants. Précision: ils devront être tunisiens ou “venus d'un pays frère ou ami”.
Ecrire nos voyages avec la lumière, c'est ce que nous faisons lorsque nous photographions. Etymologiquement parlant, du moins.
Sur le trajet qui me sépare du bureau, j'ai pris l'habitude de regarder vers le haut. Rien de mieux pour ouvrir ses चक्रं.
si tu ne crains pas pour ton image, rends-toi mardi 31 mars ou mercredi 8 avril à La Galerie, 17 rue de la Coulouvrenière à Genève, après 18 heures, tombée de la nuit, où Adja, Sébastien et Max te feront ton "portraits de moi" !
J'imagine. Parfois tu dois freiner soudain ton véhicule, stopper sur le talus en bordure d'une petite forêt encore dénudée par l'hiver et couper la radio. Dans le silence, tu l'écoute qui revient, comme une vague lourde que rien n'arrête, comme un désir érotique sombre… Tu regardes les arbres nus, tu ne penses à rien, ta gorge se noue par moments, tu contiens les pleurs. La mort est là. C'est tout.
Maqroll et Corto me saluèrent me souhaitant une bonne route et disparurent dans la nuit tiède tandis que j'entrais dans le pavillon des Roses de l'aube.
… et plus tard c'était déjà un autre jour, un tout autre matin, et sa gardienne me rappela à mes parrains de la veille. Je pris vers le port, la nuit s'amenuisait.
Je les avais présentés l'un à l'autre, il y a quelques mois, et voilà qu'ils signent ensemble à présent des contrats juteux pendant que je vais chercher à boire.
Entre deux nuages d'un ciel de traîne la place s'éclairait juste pour le groupe qui allait venir. Nous en mesurions la lumière comme un sourcier débusque un courant.
Dans son débit de boissons que sait le serveur du dépit du poisson qui murmure plus qu'il ne chante Trenet ou Lapointe?
Journée internationale des impasses souterraines avec remontée payante.
Ouai c'est facile. Mais c'est rigolo, aussi.
Pis d'abord je m'en fiche.
Le cheval et l'hippocampe, bien sur.
Pompong!
Le (très) petit Nicolas Sarkozy l'a dit et répété : le travail des jeunes est la priorité des priorités de sa mandature.
La mobilisation a donc commencé dans les lieux stratégiques…
Aujourd'hui, c'est la date anniversaire de ma première photo sur UPJ…
Diaporama de mes jours et petite chronique de ma vie, je t'écris d'un œil tandis que l'autre reste plongé dans l'étrange lunette des chasseurs d'instants.
Encore un an, dix ans, un siècle, pour dire qu'en photo le temps est mon allié. Œil pour œil, temps pour temps…
Image d'un marché qui n'est ni obligataire ni à terme, où des êtres de chair et de sang échangent contre espèces sonnantes et trébuchantes des biens de consommation qui n'ont rien de virtuels ni de superflus.
Une sorte de «vraie» économie sous mes fenêtres, tenue par de sympathiques braillards bigarrés…
Je suis l'oiseau sacré, une légende volante, familier de ce milieu aussi beau que difficile, la forêt boréale, là où chacun dépend de chacun, là où il faut que les idées voyagent si l'on veut se lier, se relier, avoir une chance de survivre. Je suis là, toujours là, comme au-dessus de mes affaires. Je ne suis qu'un oiseau parmi d'autres oiseaux, direz-vous, ni aigle à tête blanche, ni un spectaculaire harfang, ni même une mignonne mésange. Je ne suis pas bleu, je ne suis pas huppé, sans couronne remarquable ni croupion blanc ou doré, je ne suis pas cet oiseau bucolique de la face facile du monde. Non, je suis noir et gris, gris-noir, la terne livrée de la sauvage quotidienneté. […]
Wiskatchan, petit augure du Moyen-Nord, l'oiseau gris des chasseurs, un oiseau d'amour à -30°C, une petite pensée pour chacun afin que personne ne soit oublié. Je suis la pensée libre d'un monde disparu. Ma cathédrale est devenue ressources renouvelable et développement durable. Je ne suis plus qu'un pauvre oiseau, imagine ! Moi qui suis plus qu'une pie de bénitier, plus qu'un cardinal, moi Saint Geai Gris de toutes les Assise. » Bestiaire I, Serge Bouchard
« Je suis le penseur Wiskatchan,
une pensée pour tout et pour tous, soucieux du loup et de la louve, des meutes en général, soucieux des petits animaux, une bonne pensée pour la marche des choses. Dites –le aux philosophes, la pensée est noire et grise, elle vole dans les espaces non fréquentés, elle se pose souvent sur un bouleau nain et se met à chanter. Un bestiaire des grandes figures animales des immensités nord-américaines serait impensable sans moi, je dirais même sans moi en vedette américaine. Je sais il y a l'ours, il y a les loups, les lynx et les orignaux. Cependant, dites seulement Wiskatchan et vous aurez déjà prononcé le principal du bréviaire des solitudes solitaires.
[…]
Voilà une première confidence. Les petits animaux comptent sur moi pour manger quand ils n'ont rien à se mettre sous la dent. Je suis un peu responsable de la réussite des chasseurs, car je tiens à ce qu'ils tuent. Parce que je vole, je vois tout, je vois bien les proies. Alors, il suffit de me regarder aller pour résoudre l'énigme obsédante qui occupe l'esprit de tous les prédateurs, où se cache le gibier ? Et il faut que les gros tuent pour que je puisse ramasser les brides et restants qui nourriront les petites créatures. » Bestiaire I, Serge Bouchard
Comme tous les jours, à mon réveil, solitaire, je reprends le chemin de « mes premiers pas » et rejoins la forêt.
Je suis les traces de lièvres, et relève les ‘'Ni/kwan'' Tout est calme, trop calme. Cette nuit, la température est remontée à +4°C, j'ai même dormi la fenêtre ouverte. Une fine pluie mélangée à une neige légère est tombée. J'avance péniblement dans la neige lourde. Mes raquettes ne suffisent plus pour me garder à la surface de la neige, j'enfonce à chaque pas. Mais c'est mon dernier jour dans le bush, il faut que je retire mes ‘'Ni/kwan'' et ceux de Mary, j'ai promis de le faire pour elle. Soudain j'entends un cri, surprise, je ne l'identifie pas tout de suite, mais cherche plutôt à en estimer la distance, un deuxième puis un troisième. Il n'est pas seul, les voix sont différentes! Je sors du bois et rejoins le campement ! …
« …je me suis fait attaqué par des loups… j'avais beau courir, ils me rattrapaient … alors je suis monté sur un arbre. Agacés de l'attente, l'un d'entre eux me dit, attend là sur ton arbre, je vais revenir avec mon ami. Et il est revenu avec le castor. » Conté par Red.
Matin brumeux et gelée blanche
Le froid saisit mon visage
Mes cheveux perlent de microgouttelettes
Un coup de langue gourmande et je me réchauffe sous la couette…
promenade matinale avant le déjeuner
ce n'est pas les mêmes pas…
décidée …je prend le bus tout à l'heure
où ?
à suivre
Léo Inkok, Joueur de Tambour 08
Je suis restée en vibration devant cette sculpture,