GE
levé du jour…depuis la fenêtre de ma chambre
Mafieux de la pizza et de la cravate en polyester s'autoportraiturant.
Les fish cake au chocolat de Philippe à la conquête du quartier, qui, à l'endroit où il harangue joyeusement les quelques passants engoncés dans leurs doudounes, devraient rappeler que le lac, dans sa fougueuse jeunesse, s'étalait jusqu'ici.
Ca fait deux ans et demi que c'est demain.
Aujourd'hui serait le moment!
Bien que pour certains, demain c'est toujours.
"Ce site fait bien plus que me titiller parce (que) tu y mets des photos de blondasses a moitie nues ou endormies sur ton foulard!" MN, le 14/02/09
Can't please everyone I suppose, but critique noted!
"We are also trying to better ourselves, by getting in better trapping grounds, if we can, so as to be on a better footing next year to help ourselves, so as not to be dependent on relief, that is the younger generation, and well and able, as my ambition is to try and make the Indians more self supporting." Chief Joe Shaganash, In a letter to the Dep't of Indian Affairs dated August 3rd, 1936
Un guérisseur payé CHF 2000.- … de l'heure (authentique) devrait sentir le regard du photographe dans son dos, non ?
l'authorité de traffic veut l'éxaminer. Monsieur le controlleur s'étonne que je vais la voir de dessous. Je n'y comprends rien, mais il faut quand même profiter, non?
Il retourne en Suisse la première fois depuis 8 ans, et je me réjouis de ces contes, comme il maìtrise sa vie dans une manière qui le rend content et qui donne du pain solide à sa famille et une vingtaine de personnes en Ecuador. Et en çe qui concerne être détendu devant une caméra: Non, il n'a pas changé du tout….
y est. Peter, architecte pour la planification du dévelopement de la ville, en aura encore du travail…
Je me souviens d'une petite histoire, que l'oncle Alfredo m'avait raconté lors d'une de nos promenades à Dietlikon, jadis petit village paysan, ou il était né et avait passé son enfance: Dans les années 30 du siècle passé, la rue cantonale était goudronnée pour la première fois, avec l'aide d'un gros rouleau compresseur à vapeur. A la fin du travail le soir, le machiniste quittait la grande machine, qui était encore sous pression. Moyen de la fermer à clé n'était pas prévu, dans ces jours. ç'était le moment pour les petits galopins Piatti, ils montaient le compresseur et le conduisaient tout à travers le village. "La pression tenait jusqu'à la gare, là, on la laissait", il disait laconique.
Essayez un peu aujourd'hui…
"Le terrien a deux jambes (dont une plus courte que l'autre), un seul bras, pas de pieds ni de main et son tapis de prière est d'un vert hautement saturé. Il est d'évidence ovipare et expulse ses œufs par paire en sautillant sur place…"
Encyclopédie Martienne
Et la voiture à l'intérieur, c'est une Citroën Picasso ou une Chevrolet Cheyenne ?
Il est rentré dans mon wagon en jetant un tonitruant « scouzez li dourangement » avant de massacrer à tel point «Emporté par la foule» que la grande Edith doit encore en piaffer d'indignation dans sa tombe. J'ai compris alors sa précaution initiale : c'était en effet très dérangeant…
Assis sur le strapontin à sa gauche, j'ai discrètement sorti mon appareil photo pour témoigner de ce meurtre musical. Puis, mon humanisme protestant ayant repris le dessus, je lui ai donné une pièce d'un euro qu'il a empoché avec satisfaction. C'était bien payé…
Déjeunant à la Closerie des Lilas avec un chanteur légèrement autiste et un riche héritier Suisse franchement débonnaire, je me trouvais à la place de Paul Eluard, André Gide, Jean Giraudoux et Romain Rolland.
C'était très convivial, mais on était un peu serré quand même…