GE
La base de la culture moderne… Merci les Mayas !
"Il est interdit d'ingerer de substances alcoolisees"
Surtout si tu prends le bateau pour aller a Utila, c'est pas celui-la !
…dans le bus, (parce que mon garagiste me fournit des batteries qui tiennent une année, ce qui est la norme, du moins ça le devient, je n'en peux rien, dit-il, mais on s'arrangera), dans le bus, coincé entre des collégiens, ces semences qui seront les fleurs de demain, je surprends une conversation déroutante : « Tu entres par la porte de derrière, prends à gauche, longes les toilettes et tu tues le barman. Mais fais gaffe, il y a des vigiles l'entrée du restaurant… ». Je suis abasourdis, me colle à eux, les écoute planifier ce qui m'a tout l'air d'un meurtre, un meurtre prémédité. Je les fixe, le bus s'arrête, ils descendent. Ne me rends compte que bien plus tard qu'ils devaient parler de jeux vidéo, du moins je l'espère, et repense à ce môme, Daniel Petric qui a tué sa mère, blessé son père parce qu'ils lui avaient confisqué un jeu électronique qu'ils estimaient violent, meurtre que le jeune assassin a cherché a faire passer pour un drame passionnel impliquant son père. Mais bon, ce qui est rassurant c'est que ça s'est passé en Ohio, et que jamais, vraiment, ça n'arrivera chez nous…
Son voyage, qui aura duré 54 ans, s'arrête aujourd'hui.
« Nous sommes tous des Palestiniens ! » scande la foule.
Moi alors pas du tout ! Ni pro Hamas, ni pro Israélien.
Je me sens concerné, oui, dépassé par les barbares qui s'entredévorent sur le dos des innocents, dépassé par la complexité des enjeux.
Ich bin ein Berliner ! disait l'autre. Comment un américain peut-il être berlinois, l'Algérie française ? Les Suisses un peuple de banquiers, les noirs des gens qui savent danser ?
Simplifier pour régner, être d'un camp ou de l'autre pour mieux manipuler : "Si t'es contre les Palestiniens, t'es forcément pro-Israélien.
Et vlan dans ta niche, mon poulet, tu vois bien qu'avoir une opinion nuancée est intenable. Si on coupe ton jardin en deux avec un mur, j'aimerais bien te voir réagir. Un jour où l'autre il faudra bien prendre partie…"
Oui mais…
Genève, OMS
…mon amie Anne, prend visiblement du plaisir à se retrouver quelques instants à la place de la Secrétaire Générale.
Genève
…Les déplacements pendulaires domicile-travail sont responsables de pics horaires d'embouteillages, souvent dans un seul sens…
Genève,
…petit concert intimiste, de l'invraisemblable B.Burgalat.
Genève
..dans les salons des Banques plus ou moins privées de la place,
il y a toujours des poignées de crayons à disposition.
Munis d'une mine parfaitement taillée…suggérant ainsi à son fortuné client, que l'on dispose des plus affûtés comptables,plaçant invariablement les virgules au bon endroit et multipliant allégrement les zéros….ainsi qu'à leur extremité ,d'une gomme…évoquant de la sorte, leur capacité à effacer,
ici où là, quelques traces….
Geneve, OMS
..on devise de l'état de la santé sur la planète en temps de crise…
"The treatment the human animal gets there is worse than the bovine animal gets at the stockyards, up to and including the moment of execution." Farley Mowat on airport security measures
Quoi de mieux pour troquer la p'tite "frette" pour un chocolat chaud _ Pardonnez-moi mes enfants, j'ai fini les sachets de chococho today!_ "On aura beau le repousser et le pelleter, disait Bernard Voyer,toujours il reviendra."
"It was so cold today people threw shoes at Al Gore!" David Letterman
"Que retire l'homme de tout
son travail Que retire l'homme
de toute la peine qu'il se donne
Tous ses jours ne sont que douleur
et chagrin…" Charles Juliet, Au Pays du Long Nuage Blanc
Au bout d'un moment, juste avant de se quitter, il me demanda: "Danda aytoutaiin?" En lui montrant ma direction, il se retourna pour voir, et il contempla pendant plusieurs secondes ma destination. finalement, il me regarda de nouveau et me dit: "Madjii!"
Il faudrait qu'elles passent à la casserole, je sais. Mais je crois que je vais plutôt les rendre à la terre, en hommage à l'agriculteur, subitement décédé, qui me les a données.
Cette opération coup de poing va peut-être m'enlever ce cheveu qui vient de temps à autre narguer mon objectif de l'intérieur ?
Prometteur, ce bassiste de 15 ans. Comme Zidane qui court avec le ballon sans regarder ses pieds, il n'a d' yeux que pour les autres musiciens.
Plus de 4h à table avec des adultes. Pire que le supplice chinois de la goutte d'eau. Tout rentre dans l'ordre dès qu'il est autorisé à aller y jouer sur sa PSP.
Rire à gorge déployée au moment de recevoir une salve de rayons X? La médecine n'arrête pas le progrès.
en soutenant la consommation privée
infinies de leur iPhone. Pourquoi n'ai-je aucune envie d'en posseder un?
Je sais, je n'entrerais jamais au ciel numérique.
celui-là, à Bâle, semble avoir un peu plus d'humour envers çe qu'on appelait en Suisse-allemand autrefois le "Nasevelo", la byciclette du nez
et il y a des choses à regarder, à courir et à jouer. Martin Schaffner est prof de la section "Hyperwerk" à l'école des beaux arts à Bâle, et Marlon et Norma ont du plaisir à le visiter
Ou pour un journaliste iraquien courageux? Sans le savoir, avec son coup de soulier, çe journaliste à aussi utilisé une vielle éxpression suisse-allemande: Un mec bête, mentalement mollason, de caractère louche, on appellait un "Halbschueh", une chaussure basse
Né le 14 janvier 1911, il aurait eu 98 ans aujourd'hui et c'était mon père…
Écrivain et traducteur, il était bon et aimant avec ce je ne sais quoi d'un peu grave et austère qui le caractérisait. Sans doute une conséquence des malheurs de la vie qui ne l'ont guère épargné.
C'est lui qui m'a initié à la photographie qu'il pratiquait lui-même avec talent. Toute ma vie, il m'a incité à faire des photos et je me souviendrai toujours de cette phrase qu'il m'adressait régulièrement : “tu en es où de la photo ?”.
Il aurait été très heureux de ma participation à ce site et n'aurait pas manqué de commenter mes clichés et ceux de mes condisciples.
Je lui devais bien l'image de ce jour, et même si elle n'est pas très gaie.
Salut, papa, tu es vivant en moi…
Homo sapiens (signifiant “Homme pensant” en latin) est le nom binomial désignant l'espèce humaine, il est l'appellation scientifique de ce qu'on nomme communément l'Homme, l'humain ou encore l'être humain.
Sur l'arbre du vivant, il appartient à l'ordre des primates et est le seul représentant actuel du genre Homo, les autres espèces incluses dans ce genre, une quinzaine en l'état actuel des connaissances, étant éteintes.
Traditionnellement, on caractérise les membres du genre Homo par la locomotion bipède et l'aptitude à fabriquer des outils : la bipédie libère les membres supérieurs ce qui permet d'agir sur son environnement. Les mains, munies de pouces opposables et alliées à son cerveau, très complexe et capable d'abstraction, de communication, de raison et d'introspection, permettent de fabriquer des outils très précis et élaborés…
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Le Palais des Festivals à Cannes est bien désert cette année pour le traditionnel MIDEM…
Hélas, aujourd'hui, cet amour dont nous parle le fronton du bâtiment ne paye plus ; il se vole, avant que d'être copié, multiplié, compilé, transféré, compressé, stocké, pour finir totalement dévalorisé et déprécié.
L'industrie musicale est entrée dans une phase d'effondrement abyssale dont elle aura du mal à se remettre. Toute la chaîne est à terre et c'est à la fin d'un monde à laquelle on assiste, sans qu'on sache par quoi celui-ci sera remplacé.
Certains beaux esprits voient dans le véritable pillage des œuvres musicales, par le biais du téléchargement sur Internet, une démarche résistante et libératrice face au capitalisme et à son avidité marchande.
C'est ne pas comprendre que la «gratuité» revendiquée est justement un concept libéral et marchand destiné à multiplier les ventes de contenants ultra-sophistiqués et de forfaits Internet de plus en plus performants… La musique est devenue un produit d'appel et sa ruine fait aujourd'hui la fortune de quelques brillants industriels et fournisseurs d'accès qui ne se sentent en rien concernés par la catastrophe économique de tout un secteur qu'ils induisent cependant gravement.
Les premiers à mourir sont les petits indépendants, suivis de près par les moyens avant que les gros ne se fassent racheter par les multinationales les plus résistantes du secteur.
Restera donc bientôt quelques multinationales «restructurés», alliées à de gros diffuseurs télévisuels, qui nous abreuverons de produits musicaux karcherisés et labellisés par les marques…
Le joli passage qui mène au stand de la Suisa, la petite Sacem Suisse.
L'ambiance y est calme et j'aime y retrouver des confrères autour d'une bière en rêvant de retourner manger une fondue au café du Soleil…
Laurent Petitgirard, Président du Conseil d'Administration de la Sacem n'a pas fini de se faire des cheveux face à la dégradation des perceptions de la société…
" Ta tâche n'est pas de chercher l'amour,
mais simplement de chercher
et trouver tous les obstacles
que tu as construits contre l'amour." Djalal al-dîn Rûmi
arbre de vie
couvert de givre
toute la forêt ourlé de cristaux
… et moi qui suis dans un véhicule et ne peux m'arrêter !!!
" Maurice chappaz."La préhistoire est devant nous" écrivait-il à l'époque, lucide sur la logique de ceux qui défiguraient la montagne. A l'aune des désastres environnementaux qui se succèdent, cette constatation, parce que fondée sur une mystique de la Nature, prend une résonance prophétique" Carole Wälti