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…par un panneau de circulation jadis?
Peu probable…on a tendance à arracher l'arbre plutôt que le métal.
Il m'apparaît hautement improbable, en exhumant cette image, d'avoir vécu un jour cette scène, d'avoir promené mes vingt ans pendant des mois en Afrique. La photographie nous ramène parfois des lambeaux d'histoires enterrés au fond du jardin de la mémoire…
…et ressasser : Il était une fois, une seule fois, un point c'est tout !
Portraits de lauréats au Nobel auxquels il a été demandé de dessiner leur découverte. Belle expo au Forum de Meyrin. Photographies de Volker Steger
Photographe de presse en civil; quasi anonyme sans son barda.
"Il faudrait essayer d'être heureux ne serait-ce que pour donner l'exemple." Cette phrase, cueillie dans une biographie de Prévert, au café, ce matin, me met en selle.
Dans certaines contrées, quand les temps sont troublés, les glabres au pouvoir prétendent qu'il faut raser les velus parce qu'ils contreviennent à la morale en vigueur. Lorsque tous sont tondus c'est les poils du cul qu'on rase. Les poils du cul des réfugiés d'abord ! Alors quand tout le monde est tondu, les glabres se font des petites moustaches de poils de cul pour voiler pudiquement leur satisfaction.
«Mots, phrases, syllabes, astres qui tournent autour d'un centre fixe. Deux corps, beaucoup d'êtres qui se rencontrent dans une seule parole. La page se couvre de lettres indélébiles, que personne ne disait, que personne ne dictait, qui sont tombées là, et brûlent, et brillent, et s'éteignent. C'est ainsi qu'existe la poésie, qu'existe l'amour. Et si je n'existe, toi tu existes.» Octavio Paz
Neige sur QCity today! Parodie d'un paradoxe sûrement. Red Man Watching White Man Trying To Fix Hole In The Sky.
Une paire de pompes comme alternative au psy ? J'y cours. Que dis-je … j'y vole ! Pieds nus s'il le faut.
Sam fait le tour du monde avec ses Hedge Funds. Je lui parle du Népal en le regardant droit dans les yeux.
Les Etats-Unis sont en récession, voir en stagflation, depuis l'automne dernier. Le dollar va rester au plancher et il n'y aura jamais d'alternatives au pétrole. Quand il était stratège chez Morgan Stanley, Byron n'aurait jamais livré d'aussi noirs pronostics. La même fonction exercée chez un des poids lourds de la gestion alternative l'autorise à une pleine indépendance d'esprit.
Son secret pour passer allègrement la barre des 80: consommer les excès avec modération.
Choquées par les nus d'enfants à l'expo "Controverses" au Musée de l'Elysée. Voilà qui est plutôt rassurant.
La photographie calme les pulsions. Parole de psychiatre. Cet instantané va-t-il me guérir de la fièvre acheteuse ?
… alors que dehors il fait froid pour les rats et les pauvres
On dirait que les montagnes doivent se mettre en place au premier rayon,
pour être comme sur la carte postal pendant la journée.
Bien beau celui qui veut faire le paon… c'est celui qui en joue qui a la meilleure note !
Ils sont ensembles pour la vie et ils viennent tout juste d'arriver !!
C'est au Printemps que le Violoniste des rues sort et se revêti de ces plus beaux airs, question de tuer le cafard de l'hiver !
Bien beau faire le paon, mais c'est celui qui a le plus bel air qui a la meilleure note !!
Son regard est fixé sur l'objectif et semble apprécier mon voyeurisme. Mais, qu'existe-t-il donc au delà de la beauté ? La sublimité ?
Nous sommes nés au cœur ardent des étoiles. Les chats, eux, semblent encore s'interroger…
Dans l'après-midi de samedi, une pluie brutale me surprit dans le cimetière du Montparnasse. Je me réfugiais à l'entrée d'un caveau clos par deux portes en fer noir ajourées. Me tassant contre celles-ci, je sentis bientôt qu'elles s'ouvraient dans mon dos… Je pénétrais alors dans l'espace restreint que quelques épitaphes de circonstance décoraient et je fus surpris par la beauté de la lumière qui tombait de la coupole qui coiffait la petite construction. Levant les yeux, je vis qu'elle était ornée d'un vitrail et j'en admirais le cœur ceint par des ronces dont les épines le saignait… Cette image avait un siècle et peu de gens l'avait contemplé. Je bénissais la pluie de m'y avoir guidé.
mais je veux l'arbre, maintenant, rrrungtetjou. ç'est que j'ai froid, moi!
Les plats qui marchent!
au tournage d'un film
Un incendie particulièrement violent a ravagé cet habitat en tôt, hier soir s'etait à l'hippodrome. Le corps complètement calciné d'un homme a été retiré des décombres. Oumar Traoré, c'est le nom de la victime, était âgé d'une trentaine d'années et exerçait la profession d'empeseur de vêtements.
Des témoins ont expliqué que l'homme n'avait pas réussi à s'extirper de sa cahute en proie aux flammes. Il aurait demandé du secours en tentant vainement d'enfoncer sa porte de l'intérieur car il n'arrivait pas à l'ouvrir. Une des personnes accourues à son secours aurait été blessée à la main par les tôles et a été obligé, comme le reste des secouristes, de reculer devant la force du brasier. Incapable de s'échapper, le malheureux a été complètement brûlé. L'homme serait originaire de Diakènèdougou dans la commune de Dioro à Ségou. Ce saisonnier venait régulièrement à Bamako afin de travailler et pouvoir aider ses parents restés au village. Quelle triste histoire !
Au Mali, le poisson, pour sa conservation, est soit salé, fumé, séché et frigorifié. Dans tous les cas, aucun de ces processus ne se fait dans des conditions d'hygiène et de salubrité adéquates.
Le constat est inquiétant : Des matières fécales animales notamment, la bouse de vache est utilisée pour le fumage du poisson au Mali.
Des pesticides sont utilisés pour la conservation du poisson fumé, alors qu'aucune étude ne peut attester de leur non-toxicité pour la santé humaine.
Pire, des matières plastiques, les vieux sachets noirs, sont également utilisés pour fumer le poisson. « En plus, de l'huile de qualité douteuse est utilisée pour enduire le poisson fumé dans le District de Bamako ».
Cette huile, selon des sources, proviendrait de vieilles barriques contenant de produits chimiques. « Allez au marché, vous ne verrez aucune mouche voler autour des poissons frais ou séchés, malgré l'odeur » selon les constats.
Au Mali, il n'existe aucune donnée scientifique sur l'évaluation des risques sanitaires liés à l'utilisation de la bouse de vache dans le fumage du poisson, ni aucune norme relative au séchage du poisson et les produits dérivés. Ceci est considéré comme un retard crucial et un vide « à combler rapidement ».
« Le Mali est un gros exportateur de poisson fumé. Il est temps de légiférer sur des normes de séchage et d'emballage », affirment des membres de la commission Codex alimentarus Mali.