GE
L'envers du décor de l'agence de presse REZO, en fête pour le lancement de son nouveau site WEB.
Como :
Bal d'hydravions rugissants sur le lac.
Touristes enfiévrés par les reflets des vitrines des magasins.
Café plus boule chocolat, huit euros.
Le passé industriel en strates baroques dans l'architecture.
Le Fake wild boy, conformisme vestimentaire très en vogue chez les italiens.
L'architecture, miroir de l'époque, en plein délire narcissique.
Une photographie dit toujours plus de ce qu'elle ne montre pas que ce quoi elle proclame avec entêtement.
Le tremblement du turquoise mangé par le gris fait aboyer une corneille…
Joli moment de théâtre sous chapiteau :
….
-Mais tu as du talent et tu n'oses pas. Moi je n'en ai pas mais je fais.
…
Le public alors exulte, applaudit à tout rompre.
éteigner dont la lumière…
«Je réclame la liberté à grands cris.»
Camille Claudel (Letttre à Claude)
Bonne Journée internationale de la paix à tous!
…Après le film Un indien dans la ville, voici maintenant Un cowboy à Genève.
Photographier l'âme des gens, aussi furtive soit-elle, quel bonheur !
Sous le pont du Mont-Blanc coule le sang ….non non non c'est pas bon on oublie. Voyons l'original:
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Wilhelm Apollinaris de Kostrowitsky est emporté par la grippe espagnole à 38 ans mais ses poèmes sont éternels.
Sophie voulait l'appeler "Anus horribilis". Mais l'année est partie pour être bonne. Avec en prime des ventes honorables de ses oeuvres en céramique.
Juste devant un ancien squatt connu à Genève, cette affiche mettant en garde contre ces ravisseurs sans scrupules et très habiles: hasard ou nécessité ?
Le patron du restaurant leur offre un tiramisu. Il se décomposera tout seul dans l'assiette, regard dubitatif du manager de leur défilé oblige.
Non mais regarde cette peau botoxée de toute part, comment veux-tu vanter la beauté du 3ème âge ?
Elle me dit que c'est facile. Regarde, tu commences avec 2 boules mais … tu les lances à la même hauteur au lieu d'en passer une de la main gauche à la main droite. Euh… et avec une boule ça marche comment ?
Anyway, selon le maître Antonioni, le réel existe pour celui qui trouve la force de la conviction intérieure…
[extrait de courte biographie de JLG - traduction google]
Auourd'hui 22 septembre 2007, le Mali célèbre sa 47ème année d'indépendance dans la communion.
Le fleuve Niger constitue un don exceptionnel pour les pays du Sahel. Cette ressource vitale s'avère gravement menacée par une baisse de pluviométrie, associée à un ensablement croissant, à une diminution de renouvellement de ses eaux, à l'amplification du rejet d'eaux usées, à l'intensification de l'exploitation des ressources du fleuve, à la pollution de la flore, à l'eutrophisation qui raréfie l'oxygène… la capacité d'autoépuration du fleuve n'est pas sans limites. Son état suscite de grandes inquiétudes.
Un simple citoyen peut-il assister une victime d'accident de la circulation ?
En principe la question ne devrait même pas se poser, mais dans les faits…
Le simple constat empirique peut suffire. Nul besoin forcement de statistiques pour vérifier que dans la jungle qu'est devenue la circulation à Bamako, le nombre d'accidents enregistrés va chaque jour crescendo. Et les habitants de la capitale ne sont pas encore assez blasés pour ne pas frissonner en entendant les sirènes hurlantes des véhicules des sapeurs pompiers qui retentissent de jour comme de nuit.
Encore certains se demandent si faut-ils secourir un accidenté de la circulation oui ou non.
Le cri du désert parle d'une expérience physique ardue : la rencontre d'un homme avec la réalité du désert, son aridité, son vide, son silence, sa beauté aussi. "Homme, il faut savoir se taire pour écouter le chant de l'espace. Qui affirme que la lumière et l'ombre ne parlent pas ?"(Proverbe touareg)
Ce duo chorégraphique est né là, de l'émotion ressentie par les chorégraphes Aimé Ouedrago et Adelaïde Zoma devant le désert : un cri, qui se veut aussi cri du cœur pour sensibiliser les gens aux problèmes de la désertification.
tout décent, mais ce coffre à la sortie me rappellait la chanson des pirates de l'Île du Trésor de Stevenson:
Fifteen men on the Dead Man's Chest
Yo-ho-ho, and a bottle of rum!
Drink and the devil had done for the rest
Yo-ho-ho, and a bottle of rum!
(le monsieur en bleu représente upj, éxcusez qu'il n'a pas fait la photo lui même…) Merci, Susan
(Quattre-vingt-huit-mille-huit-cent-quattre-vingt-huit, en français ça me semble plus compliqué que du chinois)
Piatti de retour des vacances (à vous de choisir, lequel est lequel)
de soirées de "Slam poetry", maintenant il y a décidé de quitter son bureau et de finir ces études