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4) L'AUTRE CHEMIN – Traverser du Massif central à travers les forêts du Gévaudan ou les horribles forfaits de la bête sont devenus un atout touristique.

Je suis parti pleins d'illusions, je suis arrivé pleins de désillusions ! Non pas que cette aventure m'est déplu, au contraire, mais parce que ce n'était pas ce que je m'étais imaginé au départ. J'ai aimé la partie française ainsi que le Camino aragonès de Jacca à Puenta-la-Reina pour les rencontres que j'ai faites et le fait que j'ai cheminé pratiquement seul sur les premiers 800 km. Côté français, la plupart des gîtes étaient agréables et j'ai surtout bien mangé car certains logeurs se donnaient vraiment de la peine pour ravir les babines des pèlerins. À certaines occasions j'ai encore trouvé un esprit du Chemin. Par contre, côté espagnol, depuis Puenta la Reina le Chemin est devenu surfréquenté et international. À partir de là mon esprit a été perturbé par tout ce monde. Je me suis dit quelquefois « mais qu'est-ce que tu fous-là ». Il m'a fallu plusieurs jours pour m'adapter à ce barnum « spirituel ». De purement spirituel qu'il était au Moyen Âge, le pèlerinage de Compostelle est devenu touristique, c'est pourquoi on rencontre des gens qui font le Chemin comme s'ils allaient passer quelques jours à Ibiza ou à la Costa Brava. À cela s'ajoute l'aspect économique, car le chemin ne coûte pas cher : on va à pied ou à vélo et l'on fait l'étape dans des albergues peu onéreuses (j'ai payé 7 euros la nuit en dortoir dans des albergues municipales ou paroissiales).
À Moissac, j'ai vu des gens sortir du coffre de leur voiture (Mercédes) des sacs de randonnées et parcourir deux cents mètres jusqu'à l'Ancien Carmel. Arrivés à la réception ils ont fait croire qu'ils avaient fait le Chemin et qu'ils étaient exténués. Tout ce cirque pour ne pas se payer une chambre d'hôtel. Actuellement certains grippe-sous ont compris l'astuce. Et c'est ces gens-là, qui, le soir à table, on la gueule ouverte.

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5) L'AUTRE CHEMIN – Abri pour pèlerins dans les Monts d'Aubrac.

Sur ce Chemin, de Puy-en-Velay à Compostelle, j'ai toujours eu une petite étoile qui m'a accompagné. Durant les 80 jours de marche, je n'ai eu aucun problème (le seul c'est mon ordi qui a beugué). Malgré les difficultés parfois pour trouver un lit pour la nuit car tout était complet j'ai toujours eu de la chance. Il y avait tout à coup une personne qui apparaissait et m'indiquait une adresse qui s'avérait être exactement ce que je cherchais. Avec les logeurs j'ai eu de bons contacts. Les espagnols savent faire la différence entre un « peregrino» et un tourigrino.

Dans les albergues qui contiennent parfois 40 à 60 lits superposés on rencontre des gens de toutes les nationalités, des Américains, des Australiens, des Néozélandais, des Coréens, des Japonais, des Taiwanais, des Brésiliens, des Mexicains, des Irlandais, des Italiens, des Allemands, des Danois, des Suédois, des Finlandais, des Polonais, des Autrichiens, des Suisses, etc. C'est intéressant de voir tout ce monde, homme et femme de tout âge cohabiter. Il y a les maniaques de l'ordre, ceux du désordre, les gueulards, les silencieux, les timides, les gros gonflés, les ronfleurs, les péteurs, les insomniaques, les noceurs, ceux qui n'ont aucun respect pour les autres qui dorment, les angoissés, ceux qui toutes les 30 secondes consultent leur smartphone (c'est une grande majorité de tout ce monde), ceux qui n'arrêtent pas de parler, qu'il soit vingt-trois heures ou cinq heures le matin (surtout les italiens) et j'en passe et des meilleurs. C'est un melting-pot fort intéressant pour comprendre l'être humain et sortir de son confort habituel. Beaucoup de ces personnes tu les rencontres au fur et à mesure des étapes dans différentes albergues, des amitiés se crées mais aussi des animosités (silencieuses) car même si nous sommes sensé être sur un chemin spirituel nous ne vivons pas dans un monde parfait.

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6) L'AUTRE CHEMIN - Que les vaches pètent, ça ne me dérange pas, mais que vous répandez toutes ces saloperies dans vos champs de blé, de maïs, dans vos vignes ça c'est plutôt dérangeant. Rappelons qu'avec 40 000 tonnes de pesticides aspergés, peu ou prou chaque année dans les champs, la France est championne européenne.

En traversant toutes ces zones rurales de la France, du Puy-en-Velay aux Pyrénées, j'en ai vu beaucoup de tracteurs répandre leur poison dans les champs cultivés et les vignes. C'est très préoccupant pour l'avenir de notre planète.

Les médecins de terrain sont très inquiets pour les personnes exposées aux pesticides et les liens qui sont maintenant établis par les professionnels avec certains cancers et certains troubles neurologiques tel que la maladie de Parkinson ; inquiets des liens qui sont retrouvés aussi chez les enfants dont les mères ont été exposées, inquiets car l'imprégnation de la population est générale... Mais la Coordination rurale de ces pauvres patelins à moitié abandonnés, vide de tous commerces et de bistros, de ces problèmes de santé elle s'en fout. Surtout, ne pas faire de réflexions désobligeantes à ces pauvres paysans, car ils sont très susceptibles.

En Espagne c'est encore pire, en Castilla y Leon, sur près de 200 km, c'est des champs de blé, de colza et autres cultures à perte de vue que j'ai traversé et là, c'est des défilés de gros tracteurs qui s'en vont gaiement asperger leurs champs de poison avant la récolte et la distribution de leurs produits dans toute l'Europe. Les assurances-maladies, les hôpitaux, les morgues ont un bel avenir devant eux.

Ceci dit, j'ai aimé le spectacle du vent dans ces immenses champs de blé ondulant qui ressemblaient aux vagues de l'océan.

En traversant la Castille, les pèlerins s'attendaient à affronter des plaines presque désertiques et arides. Mais surprise, tout était vert. On s'est rendu compte qu'en général, les photos que l'on voit dans les magazines où les livres sont prises après les récoltes, quand toutes les terres sont rasées et jaunes et que les pèlerins marchent sous des températures de 35° à 40°. Pour ces raisons, avant le départ, j'appréhendais ces 200 km dans ces plaines castillanes, mais à aucun moment je n'ai vraiment souffert de la chaleur, le ciel était souvent couvert. Le seul ennui, c'était de marcher sur une centaine de kilomètres sur des petits sentiers qui longeaient des routes goudronnées.

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7) L'AUTRE CHEMIN – Une « peregrina » Sud-Coréenne sur le Camino Aragonès

Il est clair que je fais aussi parti de ce flux de touriste qui affluent sur le Chemin, mais il y a tromperie sur la marchandise. J'étais sensé faire un chemin spirituel moyenâgeux et je me suis retrouvé sur un chemin de randonneurs « estampillés Decathlon» interconnectés à la connerie du monde. J'étais parti en espérant rencontré des personnes qui sortaient des sentiers battus et je n'ai rencontré que des pauvres gens qui ne pouvaient pas se libérer de leurs contraintes quotidiennes. Et je ne parle pas de ceux qui qui continuaient de travailler sur le Chemin que l'on entendait 100 mètres à la ronde donner des directives à leurs collaborateurs.

Tous ces marcheurs avaient leur bible : le « Miam Miam Dodo Chemin de Compostelle ». Le soir, à table, on ne parlait que des conseils que donne le guide, des parcours que l'on va découvrir, des difficultés que l'on va rencontrer, et chacun y allait de ces commentaires. Les gens ont peur de l'inconnu, ils veulent tout gérer, tout prévoir et au moindre problème ils sont désorientés.
Si certains soirs les repas étaient lourds, par contre d'autres soirées pouvaient être plus joyeuses. Si l'hôtes était généreux en vin (compris dans le prix de la pension) certaines soirées tournaient à la rigolade et ces bonnes ambiances vous dévoilaient des personnalités que vous n'aviez pas soupçonnées. Lors de ces repas en gîte ou albergue, il y a à table des personnes de tous les âges, de différent statut social, différentes nationalités, des croyants, des non-croyants, des mentalités totalement opposées, mais tout ce monde malgré tout, lors d'une soirée, arrivait à cohabiter.

Le Chemin que la plupart des tourigrinos effectuent, c'est MARCHER, MANGER, DORMIR et comme l'a dit Maëla lors d'une de ces soirées « et faire CACA »

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8) L'AUTRE CHEMIN – Le petit village d'Arrès, sur le Camino Aragonès où les pèlerins s'arrêtent pour y passer la nuit et admirer après le repas du soir le coucher de soleil, l'un des plus beau du Chemin.

J'ai intitulé ce voyage de Compostelle « L'AUTRE CHEMIN ». Mais ce n'est pas le chemin que la chrétienté a tracé au 9ème siècle qui a fait que j'ai décidé d'entreprendre ce pèlerinage sur Santiago de Compostela ; ce n'est pas les traces de l'apôtre Jacques que je voulais suivre, non ! Je ne me suis pas du tout intéressé à ce chemin moyenâgeux parsemés d'histoires abracadabrantes, de miracles invraisemblables et d'os de saints et de saintes qui ont contribué à l'enrichissement de certains lieux de culte. Durant des siècles, on a pris les pèlerins pour des imbéciles et encore aujourd'hui on continue à nous abreuver avec cette légende qui n'a ni queue ni tête. C'est une fâcheuse habitude de l'Eglise que de vouloir user de la crédulité des gens.

Le chemin que j'ai entrepris de parcourir, c'est le chemin que l'Eglise qualifie « d'hérétique ». Compostelle est bien plus ancien qu'on le croit, et sa tradition a été entretenue à travers les siècles bien avant qu'il ne fût un pèlerinage religieux. L'Eglise, en s'emparant de ce pèlerinage, n'a fait que sanctifier, comme souvent, une pérégrination qui existait depuis fort longtemps. L'endroit à Compostelle qui s'appelait jadis Asseconia, était un lieu énergétique très puissant, un lieu de culte pour les anciens druides... Mais alors, pourquoi se rendais-t-on en Galice, pays celtiques, sur le Chemin des étoiles en suivant la voie lactée ?

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9 ) L'AUTRE CHEMIN – Tout au long de mon parcours espagnol, les coquelicots ont égayé mon Chemin.

L'essentiel du chemin de Saint-Jacques n'est pas Compostelle, c'est le chemin ! Et il y a autant de chemins qu'il y a de pèlerins qui ont Santiago de Compostela comme but final. Chaque personne à sa propre motivation.

À Compostelle, la plupart des pèlerins pensent qu'ils sont arrivés. Ils vénèrent le tombeau de saint Jacques, touche le manteau de sa statue, demande pardon de leurs péchés et admirent les ors de la cathédrale. La crypte est le but de tout pèlerin, conformément au rite prescrit par le chapitre de la cathédrale. Ensuite ils assistent à la messe des pèlerins qui clôture en beauté leur chemin. Après la cérémonie, ils envahissent les bars à tapas et les restos de Santiago afin de terminer leur pèlerinage le ventre plein et des souvenirs qu'ils ont stocké par milliers dans leur smartphone qui viendront rejoindre les innombrables photos de familles et de voyages ultérieures.

Un des célèbres et des plus importants symboles de la cathédrale c'est le Botafumeiro ou turibulum magnum connu dans le monde entier. Il s'agit d'un encensoir géant à usage liturgique, dans lequel on brûle de l'encens. Huit tiraboleiros le manœuvre en tirant sur des cordes et le font osciller en le montant à 20 mètres de haut dans la voûte en formant un arc de 65 m. Il passe ensuite à ras du sol à une vitesse de 60 km/h. en laissant derrière lui un fin sillage de fumée d'encens. Ce symbole est là pour écarter les présences malignes et pour libérer les négativités spirituelles. Dans la liturgie chrétienne catholique, l'encens est brûlé pour symboliser la prière et la vénération envers Dieu.
En réalité, le Botafumeiro a eu une histoire séparée et son utilisation a changé au cours du temps. À l'origine il n'était pas à proprement dire un encensoir utilisé pendant les cérémonies, mais un grand récipient utilisé pour brûler l'encens et masquer les odeurs des pèlerins qui, de nuit, s'entassaient dans la cathédrale à la recherche d'un abri. De la transpiration des pieds et des aisselles on est passé à la vénération de Dieu, quel symbole !

Je n'ai pas assisté au balancement du Botafumeiro car il est utilisé à l'occasion des messes solennelles et de célébrations particulières. D'ailleurs je n'y aurais même pas assisté car je suis allergique à l'encens.

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10 – L'AUTRE CHEMIN – La Crédenciale : elle permet d'accéder aux gîtes réservés aux pèlerins (elle est obligatoire en Espagne et recommandée en France), et permet également d'obtenir la Compostela (certificat du pèlerinage) à votre arrivée à Saint-Jacques-de-Compostelle. La Compostela je m'en tamponne le bourrichon, on ne parcourt pas le Chemin pour un bout de papier.

Moi, le mécréant du Chemin, j'ai voulu me plier à un rite que les Compagnons et les alchimistes effectuaient, rappelant ainsi certains usages pratiqués au Moyen Âge mais que la chrétienté réprouvait.

Au départ de Puy-en Velay, juste avant d'entreprendre le Chemin, j'ai voulu toucher la « pierre des fièvres » et saluer « Maître Jacques » pendant que les autres pèlerins assistaient à la messe matinale qui leur était dédiée, et, arrivé à Compostelle, toujours selon une tradition que l'église regarde d'un mauvais oeil, je voulais terminer mon périple en allant dans la cathédrale toucher la pierre du « Porche de la Gloire » (Pórtico da Gloria) où au pied de la statue de Saint Jacques, sur le pilier central, se trouve la statue de maître Mateo (Matthieu) qui a construit entre 1168 et 1188 ce porche et la statue du « saint aux bosses » (Hercule) qui tient sous ses bras deux lions qui ont la gueule ouverte.
Sur ce même pilier au-dessous de la statue assise de saint Jacques, est creusée l'empreinte des doigts d'une main. La tradition chrétienne veut en effet que les pèlerins harassés posent la main là, ainsi que le prévoit l'itinéraire rituel pour arriver à la tombe de l'apôtre.

Le Puy doit sa fortune au pèlerinage à la Vierge qui, selon la tradition, apparut sur le mont Anis et guérit une habitante sur cette étrange « Pierre des Fièvres ». Une première église fut édifiée vers 430, sur le lieu du miracle (ses fondations ont été retrouvées sous les pavés du chœur.
Le « Porche de Gloire », construite au milieu du 12ème siècle par maître Matthieu se trouve dans le narthex au-delà de la façade baroque.
Le rituel des Compagnons et des alchimistes était, en arrivant à Santiago, de mettre les deux mains dans la gueule des deux lions pour capter l'énergie de la « Wouivre », que l'église considère comme un rite hérétique, car on se met en contact avec les enfers, et ensuite de passer de l'autre côté du pilier et poser son front sur la tête à Matthieu.

C'est le rite que je m'étais promis de faire en arrivant à Compostelle, afin de mettre un terme à mon Chemin et ainsi respecter une ancienne tradition qui me tenait à cœur. Sauf que...

Je suis arrivé le matin du 7 juin à Santiago. Et tout de suite je me suis rendu sur l'esplanade de la cathédrale afin d'admirer le « Pórtico da Gloria » et effectuer mon rite que je m'étais promis de faire au départ du Puy-en-Velay. Sauf que, l'entrée principale du porche était fermée. Si l'on voulait admirer le travail de maître Matthieu, il fallait entrée dans cathédrale. Mais on ne pouvait pas entrer avec ses bagages, il y avait des contrôles. Donc j'ai dû galérer durant deux heures pour trouver un endroit où dormir à Compostelle afin d'y déposer mes bagages qui m'avaient accompagné durant les 1535 km et retourner ensuite à la cathédrale pour mettre mes mains dans la gueule des lions et poser mon front sur la tête à Matthieu. C'est l'esprit tranquille que je me rends à l'entrée principale de la cathédrale, j'entre, je ne prête pas attention au monde qui ont envahi le lieu et me dirige vers le fameux porche. Sauf que... Une barrière m'arrête, qu'on ne peut franchir, de l'autre côté un gardien surveille car dans la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle c'est le seul endroit où le pèlerin ne peut accéder. J'en ai été quitte à admirer le porche qui se trouvait à une dizaine de mètres sous les regards du pauvre Matthieu qui ne recevait plus les dévotions des pèlerins. Quant à Hercule et ses lions, je ne pouvais pas les voir car ils étaient à l'arrière du pilier. Bonjour la fin de mon Chemin et de la tradition que je tenais à effectuer !
Je suis sorti immédiatement de la cathédrale, et je suis allé sur une terrasse d'un resto boire une bonne bière, pour fêter la fin de mon Chemin de Saint-Jacques-de Compostelle.

J'ai été surpris tout au long du Chemin, surtout en Espagne, que le message primitif du Chemin de Compostelle ait été occulté et ceci jusqu'à l'intérieur de la cathédrale de Compostelle. Pas un mot sur l'origine du Chemin des Etoiles. Ce n'est que le dernier jour de mon périple que j'ai découvert certaines traces que je cherchais. Pas à Compostelle, mais à 30 km de là, à Noia, également surnommée « Puerto de Compostela » (port de Compostelle) pour sa proximité et ses liens avec la ville de Saint-Jacques-de-Compostelle. Le nom de Noia (Noé) est issu de la légende biblique. Noia où les hommes de métiers, tailleurs de pierre et charpentiers n'allaient qu'une fois après avoir suivi l'antique Chemin des Etoiles.

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Ex Votos pour les corps

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performance à la galerie tcarmine

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certaines images ne sont là que pour questionner le regardeur (le voyeur) ... et je souhaite qu'il n'y ait pas de réponse ... que l'interrogation poursuive son chemin, coquinement et gaiement, dans les corps et dans les âmes

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... et si la question est un peu inquiétante et qu'elle fait un moment trembler les corps, alors elle a fait son boulot

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uneparjour#862

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installation de l'exposition "Désirs en Archipel" : Sabine Eichler, Yves Phelippot, Isabelle Régnier; dans un château Renaissance à Coulonges sur l'Autize.

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Jachère...

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une bien belle exposition internationale en marge des grands show d'art contemporain destinés à attirer foule et argent...

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concert en plein air.

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exposition peintures et photos présentée pendant juillet et août à Coulonges près de Niort.

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A découvrir jusqu'au 31 août, et il y fait frais...

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Essai expérimental

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Exposition photo " Genesis" de Salgado à Montélimar

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Cocktail au Château Bizard

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Noirs et blanc et même rosé

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