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La semaine uneparjour... 11 février 2019
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Naggar – Réservoir d'eau potable, une denrée qui devient précieuse en Inde
Manque d'eau et pollution de l'air
Des verres d'eau à demi remplis et pas de carafe dans les restos. C'est désormais la norme à Pune, la 8ème ville de l'Inde, au sud de Bombay, où les réservoirs sont déjà limites pour cause de changement climatique combiné à une déforestation et une urbanisation en augmentation.
Manque d'eau donc, et bientôt d'air puisqu'une étude précise que 1,24 million d'Indiens sont morts en raison de la pollution atmosphérique dans le pays en 2017. Le nirvana à portée de main.
L'Inde est aujourd'hui un cas désespéré si l'on considère au moins cinq thèmes :
1. le rapide tarissement de la nappe phréatique ;
2. la mort imminente ou avérée des grands fleuves à cause des eaux ménagères et des effluents industriels ;
3. les taux excessivement élevés de la pollution atmosphérique dans les villes ;
4. la non-réglementation de l'élimination des déchets chimiques et toxiques ;
5. la dégradation continue des forêts.
COUP DE GUEULE
Je suis solidaire et de tout cœur avec les élèves du collège de Payerne en Suisse qui ont eu un 1 en mathématique parce qu'ils ont séché les cours pour aller manifester pour le CLIMAT à Lausanne.
Quand on a des profs aussi cons, comment voulez-vous que nos enfants prennent conscience de toutes les difficultés qui les attendent dans un proche avenir. Quand ces guignols d' « éducateurs, fonctionnaires ignorants » prendront conscience, eux, qu'ils sont des marionnettes au service d'hommes menteurs, hypocrites, manipulateurs, fourbes, égoïstes, avides de pouvoir, trompeurs, imposteurs, sournois, narcissique, charlatans, mystificateurs, pervers, dominant l'esprit de ceux qui détiennent l'autorité, aimant la conspiration, les complots et cherchant à empoisonner les remous de la politiques par des machinations maléfiques afin d'assujettir les populations (assurance maladie) dans un but unique : s'en mettre plein les poches.
RICHESSE ET PUISSANCE NE SONT QUE DES QUALITÉS QU'À L'ÉCHELLE DES HOMMES, ELLES NE SIGNIFIENT RIEN À L' ÉCHELLE DE DIEU.
Naggar – Maison du peintre russe Nicolas Roerich, créateur de la Pax Cultura, la "Croix Rouge" de l'art et de la culture et d'Helena Roerich, Mère de l'Agni Yoga
NICHOLAS ROERICH (1874-1947)
Né en Russie, il voyage autour du monde jusqu'à sa mort à Naggar, dans la vallée de Kulu de l'Himachal Pradesh, en Inde. Après des études de droit, il s'intéresse à la littérature, à la philosophie, à l'archéologie et tout spécialement à l'art. Il se forme à Paris auprès de Fernand Cormon, où il rencontre de nombreux artistes, français, russes ou étrangers. Il participe également au début de l'aventure des Ballets russes. Il créa les costumes et les décors pour le Sacre du printemps de Stravinsky.
En 1929, Nicolas Roerich est nominé pour le Prix Nobel de la paix par l'Université de Paris (il recevra une seconde nomination en 1935). Son intérêt pour la paix l'amène à la création de la Pax Cultura, la « Croix-Rouge » de l'art et de la culture. Son œuvre dans ce domaine amène les États-Unis et les vingt autres membres de l'Union pan-américaine à signer le Pacte Roerich, le 15 avril 1935. Le Pacte Roerich est un instrument international présenté comme protégeant la propriété culturelle.
HELENA ROERICH (1879-1955)
Le 13 février 1879, Ékatérina, l'épouse de l'architecte Ivan Chapochnikov, donnait naissance à une fille prénommée d'Éléna. Dès son jeune âge, l'enfant montre une véritable passion pour la lecture, et les livres deviennent ses meilleurs professeurs et amis. Elle s'intéresse surtout à la nature, à la vie des différents peuples et à l'Orient. Également, dès l'enfance, Helena aurait fait des rêves profonds et « prophétiques », et prétend recevoir des visions de nature à la fois personnelle et spirituelle. Dans un de ses premiers rêves, à l'âge de six ans, elle voit un homme qu'elle apprend plus tard être saint Serge de Radonège, un sage du XIVe siècle considéré comme le protecteur de la Russie. Nièce du compositeur Moussorgsky, Éléna devient elle-même une excellente pianiste.
Le 28 octobre 1901, Helena épouse l'artiste, explorateur et promoteur de la paix Nicolas Roerich. En 1920, elle l'accompagne à New York pour la première exposition de ses peintures en Amérique. En mars de la même année, elle commence à écrire une série de livres appelés Agni Yoga ou Enseignement de l'Éthique Vivante. Présentés comme dictés par le Maître Morya, ces livres traitent de l'évolution de l'humanité. Se fondant à la fois sur les connaissances les plus anciennes de l'Orient et sur l'approche expérimentale de la science occidentale, les livres de l'Agni Yoga prétendent proposer de nouvelles solutions aux graves problèmes de l'humanité actuelle. On peut y lire, entre autres, que l'être humain serait directement responsable de la qualité de ses pensées, lesquelles détermineraient non seulement sa santé physique et psychique, mais également l'état de la planète tout entière. Helena Roerich a aussi écrit « Au Carrefour de l'Orient » et « Les Fondations du Bouddhisme ».
Rumsu - Paysannes, profitant du soleil pour se réchauffer et bénéficier d'un peu de repos.
Le village de Sharan et son temple (milieu photo), il est interdit de s'en approcher et de le toucher sous peine de 5000 roupies (60 euros) d'amende.
The "Today" Black Friday.. Buy the remaining empty bullets of the Terror state .. Take it away ! Take it away ! Take him away ! Cheap ! Cheap ! Tchiip ! Tchip ! Tchip !
(this guy Macron is really desperately cheap...)
To the second
When my tongue
and lips
Form I love you
The words throw my face
Against the wall
Against the hard wall of You
Suite..
"Ce recueil parle de l'expérience et de la mémoire de cette population qu'on appelle les migrants. Au travers de photographies que l'auteur choisit de ne pas montrer pour laisser libre cours à l'imaginaire visuel du lecteur, elle réinvente la parole de ces êtres que la vie a projetés dans le déracinement. En nous reliant à cette humanité fière et fragile, chaque nouvelle porte une voix à la fois singulière et universelle qui vient nous questionner dans ce que nous avons de plus intime : nos origines et le drame de la séparation."
