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et les touristes prennent mon coeur
Sacré
Dans l'ordinaire de ton café surgit
l'Insondable ciel voûté d'énigmes
Ebréché de paroles obscures
Les Anges de Quincampoix
Ont un sexe et des dents
Et la vertu des Anges
qui te détiennent en te délivrant
Es-tu prête?
Elle l'était
telle les Vierges Sages
Gardant la lumière allumée
dans l'attente de l'Epoux
"Veillez donc, vous ne savez ni le jour ni l'heure"
Entre sol et ciel
le savoir s'ouvre comme dette
la lumière augmente alors que tu chois
Tomba alors dans le noir la pluie de feu
juste avant le rire
Dressé entre deux dimensions, comme tenu dans une gangue de lumière vibrionante , il lui faudra passer
Oblitérer: faire disparaître les lettres, effacer du souvenir. Affranchir: payer des frais de port afin que celui à qui on l'envoie ne les paye pas.
Libérer
Cette odeur d'ennui
mêlée à la lavande
En fruit de temps gâté
enroule large tes échappées
vers les îles de la Mer du Nord, l'hiver
Apaisement des vagues sur les visages
Et tendresses enfantines
A contempler la grand-mère et son petit fils
J'ai retrouvé l'odeur de ma mère.
Dans les affres des nuits démontées,
Je guettais pour voir
Renaître ton étoile.
"Le ruisseau" de Charlotte Delbo, réalisé par Didier Feldmann
Une beauté torturante
Tout à l'heure au bord du Doux, j'ai rencontré P. Il m'a dit "ma mère est morte ce matin à 6 h 40". C'était si intime soudain.
"I was smiling yesterday, I am smiling today and I will smile tomorrow.Simply because life is too short to cry for anything" - Santosh Kalwar
"Since we cannot change reality, let us change the eyes which see reality" - Nikos Kazantzakis
"I photograph not nature, but my imagination" - Man Ray
"Wisely, and slow. They stumble that run fast" - William Shakespeare
"I was traveling on our tour bus through Europe and I was thinking I want to have long blonde hair" - Nina Hagen
"And his chin new reaped, showed like a stubble land at harvest home" - William Shakespeare