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vers la première semaine du site uneparjour, en juin 2006 
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La semaine uneparjour... 22 novembre 2016
- productions uneparjour
L'extérieur - les kakis - enrichit l'intérieur - une oeuvre de G Lhériteau.
le fer et la corde tout ce qui suffit pour qu'elle explose en poussière comme une goutte tombée d'un ciel
L'allait le soir l'ouvrir le volet
la lune écarlate
L'a vu la luciole l'entre deux nuits
Noire d'attente insomnie
L'enfant gavé d'orgueil
et traversé d'intolérable
a réveillé l'éthique de la colère
Mordu de cou glissant
à brumes froissées
odorantes oubliées
croquant des champignons froids
Rien à expliquer
mais truffer sans relâche
cette opacité par le mystère
qu'on appelle beauté
comme un effet de deuil – de seuil
Diaporama aux mirages contrastés
se conclut au vif
fessée ou douche froide
les poings puis exctinction
Le grand lac aux grands arbres
ouvre sa fenêtre sur l'atelier
dévoilant les outils
dans l'attente de tes gestes précis
Allongée voix souterraine
Plus de souffle elle s'assied
Redressée, poids souverain
- "Je ne l'ai pas éduqué ainsi"
mèche dorée sur yeux éteints
Hiding, Geneva, November 2016
"The camera makes you forget you're there. It's not like you are hiding but you forget, you are just looking so much" - Annie Leibovitz
Sandcastles, Geneva, November 2016
"Like a sandcastle, all is temporary. Build it, tend it, enjoy it. And when the time comes, let it go" Jack Kornfield
Canine misery, Geneva, November 2016
"There is no greater sorrow than to recall happiness in times of misery" - Dante Alighieri
Freckles, Geneva, November 2016
"The freckles make you seem like a galaxy of stars, just waiting to be explored and loved" - Nikita Gill
Depth, Geneva, November 2016
"A man only becomes wise when he begins to calculate the approximate depth of his ignorance" - Gian Carlo Menotti
Office world, Geneva, November 2016
"The brain is a wonderful organ; it starts working the moment you get up in the morning and does not stop until you get into the office" - Robert Frost
No looking back, Geneva, November 2016
"In looking back, I see nothing to regret" - John C. Calhoun
Réagir Un soir ou tout blanchit
Comme un épuisement des édifications
Comme un voile sur les souvenirs.
Il parait Que nous sommes programmés
Pour fuir
Et qu'il en va de notre Survie
Comme une page se tourne
Feuille plaquée sur le pare-brise
Surtout ne pas bouger
On ne l'a pas vu de nos yeux
Ce sont les anciens qui nous l'on raconté
Le rire des pierres avant l'orage
Maudit appareil cassé plus de couleurs
Révolution erratique
Cachée dans mes souvenirs
À la rue du Phénix
Les Deux corps Se placent
Et Se déplacent
Sur un croisement Mouvant
De rayons qui les Traversent
[À la rue du Phénix]
Un Champ de force
Capable de Construire Comme de détruire
La maison qui Sépare
Est chaux blanche Sans Fenêtre
Donc Aveugle
[À la rue du Phénix]
Dans Le hall de gare
Elle lui lança le Sourire du bonheur
"C'est la première fois"
Non Ils n'avaient pas de Cérémonie Sans Délai
Surpris
Il Se coula dans ce bonheur Non Défini
[À la rue du Phénix]
